Pour l’occasion, et comme tous les jours en journée, il portait des sous-vêtements féminins.

Ce soir là, je lui avais fait mettre un joli petit ensemble rose, string, soutif pigeonnant et porte-jarretelles. Il renâcla, car il ne voulait pas se présenter devant un médecin habillé ainsi ! Je dus le convaincre, en lui promettant une « bonne fessée » s’il n’obéissait pas. Je lui expliquais que c’était pour son « problème » et qu’il devait consulter un médecin. Autant mettre les choses au clair avec lui ! Il céda, mais je compris qu’il n’était pas encore prête, pour notre dessein. J’avais pris rdv, en fin de journée, pour lui faire mieux accepter la chose, et lorsque nous fumes introduits dans le cabinet, j’eus comme toujours un frisson amoureux en voyant Véro, qu’elle était belle ! Comme toujours nue sous sa blouse, terriblement érotique… sa jolie poitrine sous le fin tissu rose… On aurait cru qu’elle était nue ! Elle s’approcha de moi, pour me faire une bise, mais dès que nous fûmes en contact, je craquais comme à chaque fois. La « bise » devint un vrai baiser, que nous échangeâmes devant un Marc médusé.

Ne voulant pas que la situation m’échappe, je me retournais, prête à le gifler pour le faire rentrer dans le rang, mais Véro s’approcha de lui et lui sourit :

— Allons, ma chérie, nous sommes entre femmes, je pense avoir compris que vous n’êtes plus vraiment un homme ! Venez que je vous examine !

Et sans lui laisser le temps de se reprendre, elle l’entraîna dans la salle d’examen et le fit se déshabiller. Véro avait un très fort charisme et la chose n’osa pas lui désobéir. Lorsqu’il fut torse nu et juste vêtu de ses bas et porte-jarretelles, il rougit, il était vaincu. Elle le fit s’allonger sur la table, les jambes écartées. Elle commença par lui palper les seins, mais l’aspect médical ne dura pas longtemps, je connaissais ses caresses et je fus un peu jalouse en la voyant caresser ces jolis petits seins dont les tétons se durcirent. Elle les fit rouler entre ses doigts et la « folle » gémit doucement.

— Les glandes semblent bien développées ! Je vois qu’elles sont sensibles, une vraie petite femme que nous avons là ! Maintenant, voyons la suite…

Elle releva les étriers, lui écartant bien le cul, lui attacha les chevilles et les mains. J’ai toujours cet examen en horreur, on se sent comme une bête, du bétail. Le sexe ouvert et offert.

— Je dois m’occuper de cette petite chose et de ton vagin, enfin tes fesses et ta prostate...

Elle approcha l’appareil d’échographie, brancha une sorte de godemiché, bien assez gros pour lui faire peur, mais Véro fut rapide, elle plongea l’engin dans une solution, et put sans difficulté l’introduire dans les fesses offertes… C’était une belle « chose » et Marc, sembla souffrir, du moins au début, mais bientôt je le vis se tendre et prendre un air heureux !

— Je crois que nous avons trouvé le point G ! Mais il me faut une image plus précise…

Elle abaissa un levier, je vis sur l’écran que le god se mettait à vibrer. En même temps, elle appuya sur une poire… Qui fit grossir la chose… Marc prit un ait extatique !

— Mais elle jouit, la petite salope ! Je devine que ce n’est pas la première fois que tu jouis en femme, non ?

Marc gémit quelque chose.

— Allons sois précise, combien de fois t’es-tu fait enculer ? Tu ne sais même plus, c’est là qu’est ton vrai sexe !

En disant cela, elle fit glisser ses mains douces sur la soie des bas de Marc (car il mettait des bas de soie !). Elle partait des chevilles et remontait jusqu’en haut des cuisses, s’arrêtant sur la pauvre virgule, qui sembla reprendre un peu vie. Elle l’a pris entre ses doigts et le masturba doucement. Heureusement que Marc était attaché ! Car ses reins se soulevaient sous la jouissance.

— Mais nous avons là une vraie petite femelle, tu es clitoridienne aussi !

Elle tourna une molette faisant vibrer encore plus vite le god dans son ventre, Marc se mit à gémir encore plus fort et ses yeux se révulseraient sous la jouissance !

— Je crois que nous avons là plus qu’une travestie, tu es une vraie femelle ? Non ?

Marc eut bien du mal à lui répondre, un pauvre Oui…

— C’est bien que tu en prennes conscience, mais maintenant tu vas devoir assumer, tu vas devenir vraiment femme ! Mais avant tu dois assumer et apprendre à vivre ta nouvelle vie…

Marc se tordait de plaisir et gémit quelque chose.

— C’est bien, maintenant voilà ce que tu vas faire, à partir de ce soir tu seras une femme, je t’interdis de porter des vêtements masculins ! Mais tu comprends bien que la pauvre Chantal ne peut plus te considérer comme son mari, comme un homme, n’est-ce pas ? Je vais devenir son « mari »… une femme a besoin que l’on s’occupe d’elle et tu n’en es plus capable, n’est-ce pas ?

Elle poussa l’intensité et maintenant la pauvre chose que j’avais épousée se tordait de plaisir sur la table, heureusement qu’il était attaché, il serait sûrement tombé au sol !

— Maintenant, nous devons te trouver un nom, dit-elle en se tournant vers moi et en posant un baiser sur mes lèvres ouvertes.

Je suggérais Christine, mais Véro nous dit non.

— Il lui faut un nom de soubrette, comme celles qu’il regardait dans les revues pornographiques ! D’ailleurs, c’est ce qu’elle va devenir, la petite Anny ! Il en rêvait, alors elle va le devenir, car si j’ai bien compris l’ancien Marc te reprochait de ne pas travailler. Il voulait que les femmes travaillent ? Alors “elle” travaillera, comme bonne ! N’est pas “Anny" ?

La pauvre "Anny" était bien incapable de répondre, prise dans son délire sexuel !

— Arrête de jouir, salope ! Je veux une réponse !

Elle dégonfla le godemiché, le retira et lui fit une intraveineuse pour qu’elle se calme ! Puis elle lui ordonna de nous rejoindre dans son bureau. Tous ses vêtements se trouvant là c’est une créature en sous-vêtements qui nous rejoignit. Il voulut se saisir de ses anciennes affaires, pantalon, chemise…

— Je croyais que nous étions d’accord, c’est NON ! Terminé à partir de ce soir, tu es Anny, Anny la soubrette de tes délires érotiques !

Elle lui tendit une blouse qu’il enfila sans se révolter, d’ailleurs comment aurait-il pu ? Il avait le regard vague et semblait absent, enfin absente, la blouse était courte et cachait à peine la lisière des bas... Et c’est cette créature qui remplit et signa, l’autorisation de faire d’elle une femme, en passant par une phase d’adaptation. Ce fut l’une des dernières fois qu’il signa de son prénom masculin…

— Maintenant, va nous attendre dans la salle d’attente, ta Maîtresse a des dispositions à prendre pour ta nouvelle vie !

Pendant que « Anny » sortait, Véro me prit dans ses bras, ouvrit mon chemisier et caressa mes seins offerts, fit glisser ses doigts « enchantés » entre mes cuisses, et ce fut bientôt moi qui gémis de plaisir !

Véro, mon « mari » ? Oh oui, je le voulais !

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